De l’aban-don et de l’abon-dance
Ici, je me confronte à plusieurs forme d’abandon sensuel : de l’abandon qui renvoie à la vulnérabilité de la nudité pudique et qui engage attention et protection (aban-don), à celle qui se présente comme un laisser-aller, un lâcher-prise complice du mouvement éternel de la vie et du désir (abon-dance).
Les photos ici comprennent de l’habillée sensuel, du nu pudique ou du demi-nu (sein) et je les estime visibles par tous.
Rentrez dans l’esprit du projet : pensez à lire les descriptions des photos !